videoprojector, since 2014
(in situ installation augmented in 2021: concrete, blue pigment, microphone, speakers)
Le vidéoprojecteur n’est connecté à aucune source, ne projette aucune image. Et pourtant des dizaines de petits points blancs prolifèrent... les pixels du projecteur meurent peu à peu, dans une lumière aveuglante.
L’œuvre est en cours depuis 2014, et de plus en plus d’étoiles remplissent la projection. A présent, elle est augmentée de mortier rehaussé de pigment bleu au sol, sorte d’ombre portée de la projection, qui la situera autant dans un dispositif paysager – la projection y serait un ciel, le mortier un sol et l’angle entre le mur et le sol un horizon – que comme une déflagration de supernova.
La ventilation du vidéoprojecteur est amplifiée par un système de micro relié à deux enceintes. Le dernier souffle de la machine devient alors un vrombissement sourd et ambiant, faisant allusion à des enregistrements d’ondes sonores venues de l’espace.
photos : 22,48m2 Gallery, 2018L’œuvre est en cours depuis 2014, et de plus en plus d’étoiles remplissent la projection. A présent, elle est augmentée de mortier rehaussé de pigment bleu au sol, sorte d’ombre portée de la projection, qui la situera autant dans un dispositif paysager – la projection y serait un ciel, le mortier un sol et l’angle entre le mur et le sol un horizon – que comme une déflagration de supernova.
La ventilation du vidéoprojecteur est amplifiée par un système de micro relié à deux enceintes. Le dernier souffle de la machine devient alors un vrombissement sourd et ambiant, faisant allusion à des enregistrements d’ondes sonores venues de l’espace.
photo : Glassbox, 2021
photos : FRAC Île-de-France, 2021