group show, Glassbox, Paris, 2021
with Joan Ayrton, Marion Balac, Guillaume Berrut, Alix Desaubliaux, Lucie Desaubliaux, Carin Klonowski, Gérald Kurdian, Emmanuel Van der Meulen, Poésie Maxi
L’exposition Blackscreen_Issues_Sleeping_Displays a été concue après un an de résidence à Glassbox. Les écrans gravés de la série éponyme de Carin Klonowski y étaient présentés, mais c’était aussi l’occasion d’élargir l’expérience à la seule relation sensible que l’artiste entretient à ces entités numériques provisoirement réanimées.
Carin Klonowski a donc invité artistes et chercheureuses à présenter leur travail età collaborer avec elle, notamment Gérald Kurdian, qui a réalisé la bande-son de l’exposition et une performance en duo le soir du vernissage. Carin interprétait certains des textes gravés sur écrans, à la manière d’un PNJ incarnant une médiation entre objets et public, pendant que Gérald grattait sur sa guitare électrique un rock emo chargé d’affects.
Dans la même perspective d’une recherche chorale et dans un positionnement esthétique et politique qui récuse l’unicité traditionnelle de la signature et pluralise la figure de l’auteur·ice, Carin Klonowski a invité des artistes avec qui elle entretient des relations de travail et d’amitié – des voix qui furent précieuses, même à travers des interfaces présumées froides, pendant l’année Covid qui s’est écoulée.
Chacune à leur façon, ces œuvres abordent la matérialité de l’écran et de l’image, de la communication et les relations à travers les interfaces numériques. Ensembles, elles dessinent un mediascape dans lequel affects, souvenirs, entités numériques et électroniques peuvent être en paix, avec ou sans corps, avec ou sans utilisateurice/spectateurice.
Carin Klonowski a donc invité artistes et chercheureuses à présenter leur travail età collaborer avec elle, notamment Gérald Kurdian, qui a réalisé la bande-son de l’exposition et une performance en duo le soir du vernissage. Carin interprétait certains des textes gravés sur écrans, à la manière d’un PNJ incarnant une médiation entre objets et public, pendant que Gérald grattait sur sa guitare électrique un rock emo chargé d’affects.
Dans la même perspective d’une recherche chorale et dans un positionnement esthétique et politique qui récuse l’unicité traditionnelle de la signature et pluralise la figure de l’auteur·ice, Carin Klonowski a invité des artistes avec qui elle entretient des relations de travail et d’amitié – des voix qui furent précieuses, même à travers des interfaces présumées froides, pendant l’année Covid qui s’est écoulée.
Chacune à leur façon, ces œuvres abordent la matérialité de l’écran et de l’image, de la communication et les relations à travers les interfaces numériques. Ensembles, elles dessinent un mediascape dans lequel affects, souvenirs, entités numériques et électroniques peuvent être en paix, avec ou sans corps, avec ou sans utilisateurice/spectateurice.
photos : Margot Montigny, Ugo Ballara, Glassbox, 2021